L’opposition aux OGM du point de vue des sciences cognitives

Cette semaine, l’UE a autorisé l’importation et la commercialisation de produits génétiquement modifiés. Branle-bas de combat chez les opposants.

Il ne s’agira pas dans ce billet de parler des aspects politico-économiques de cette affaire ; une distinction que la majorité bruyante des opposants aux biotechnologies s’échine justement à ne pas faire. Il ne s’agira pas non plus d’aborder les aspects techniques et factuels des biotechnologies ; un domaine que la majorité bruyante des opposants s’échine à ne pas aborder avec rigueur. Il ne s’agira pas non plus de faire œuvre de «  shill », même si, comme il est devenu systématique, j’ai de bonnes raisons de penser que l’accusation me tombera dessus aussi brutalement et gratuitement que le couperet sur la nuque délicate de Marie Antoinette. A propos de cette réelle position sceptique scientifique, je renvoie le lecteur écouter Marc Robinson-Rechavi chez Podcast Science.

Non, en réalité, l’actualité me pousse à revenir sur un article à paraitre en avril dans Trends in Plant Science. Les auteurs, venant des départements de Philosophie et Sciences Morales et de Biotechnologies végétales de l’université de Gand en Belgique, s’interrogent sur les ressorts cognitifs de l’opposition persistante aux OGM dans le grand public.

Les auteurs mettent en lumière quatre points :

  • Le grand public a tendance à se reposer sur un raisonnement intuitif pour porter un jugement sur les OGM
  • Ce raisonnement intuitif inclut une vision naïve de la biologie, téléologique, et basée sur les émotions
  • Les activistes anti-OGM exploitent avec succès ces intuitions pour promouvoir leur cause
  • Les jugements intuitifs écartent le grand public des solutions durables

En effet, l’opposition aux OGM est extrêmement forte, particulièrement en France où toute une niche politique très bien représentée s’est construite sur cette opposition. Mais le lecteur francophone devrait savoir que cette situation peut varier selon les pays. Pourtant, l’opposition aux OGM reste fortement active, et ce dans des environnements culturels extrêmement distants. Ainsi, le gouvernement indien a interdit la culture du Brinjal Bt sous la pression de l’opposition après avoir autorisé sa commercialisation. En Europe, un véritable moratoire s’est abattu sur les biotechnologies conduisant à des standards de régulation extrêmement stricts et couteux concernant l’importation et la culture de produits OGM. En Afrique et en Asie, les conséquences de l’opposition sont pour le moins tragiques et mortifères.

Paradoxalement, le consensus scientifique sur la question, encore une fois, du point de vue strictement technique et factuel, est pour le moins clair. Il a ainsi été proposé que les croyances post-chrétiennes et les nouvelles conceptions romantiques de la nature (ce que j’appellerai les religions New-Age, mais les auteurs n’emploient pas le terme), sont à l’origine de cette rupture. On a aussi pointé le manque de bénéfices immédiats pour le consommateur occidental. Si ces pistes semblent correctes, elles n’expliquent pas encore comment la même opposition semble se produire également dans des cultures non post-chrétiennes et pourquoi le grand public ne rejette pas également toute technologie ne lui apportant pas un bénéfice immédiat, ou encore pourquoi le public préfère-t-il simplement ses conceptions romantiques à la réalité.

Cette rupture patente entre l’opinion publique et le monde scientifique requiert nécessairement une explication, et les auteurs pointent ici du doigt la nature intuitive du raisonnement humain à l’origine de telles méconnaissances des technologies produisant les OGM. Ils soulignent l’implication des raisonnements intuitifs particulièrement forts dans la popularité et la persistance de l’opposition aux OGM. opinions negatives OGM Bien que l’on puisse avoir l’impression d’être totalement maître de ses propres décisions, et que celles-ci sont systématiquement soumises à l’analyse consciente de la situation, la plupart sont en réalité décidées de manière tout à fait intuitive. Ces raisonnements intuitifs, parfaitement normaux et fruits de notre évolution, conduisent à une évaluation directe des risques et des bénéfices auxquels nous sommes apparemment confrontés. Dans le monde auquel le développement de nos sens répond, ces jugements intuitifs conduisent globalement à une bonne évaluation des risques et à notre survie individuelle. Traverser ce torrent furieux à la nage, d’après ce que mes sens me permettent d’appréhender, c’est-à-dire la vision des flots déchainés, le bruit assourdissant des remous, et tout un tas d’autres signaux connexes, me semble une entreprise pour le moins dangereuse. Intuitivement, le bénéfice d’atteindre l’autre rive plus rapidement qu’en faisant un détour de plusieurs kilomètres me semble assez contrebalancé par le risque d’un décès aussi prématuré que désagréable.

Mais la science est souvent contre intuitive. Dans l’observation de l’univers, nos sens se trouvent totalement perdus par l’appréhension de la nature telle que notre espèce n’a pas évolué pour s’y orienter. Notre cerveau ne sait pas appréhender intuitivement l’infiniment grand ou l’infiniment petit. Contrairement au torrent, ce ne sont pas des milieux auxquels nos sens sont adaptés. Fort heureusement, nous disposons d’un deuxième type de raisonnement, réflexif, et qui nous permet de mesurer le poids de différents jeux d’informations de manière consciente. Face à des observations naturellement contre intuitives pour nous, c’est ce type de raisonnement qu’utilisent les scientifiques pour comprendre l’univers de la façon la plus objective possible.

Ainsi, beaucoup de gens ont intuitivement peur des araignées, et très peu ont peur des voitures. Mais objectivement, les voitures sont beaucoup plus dangereuses et mortifères que les araignées. Pour apprécier cela, il faut analyser objectivement des jeux de données qui ne relèvent pas de l’intuition.

La première cause de la popularité et de la persistance de l’opposition aux OGM est bien là : l’activisme en appelle à l’intuition. Ce raisonnement est évidemment séduisant, car il correspond à l’approche la plus directe, simple et compréhensible de l’univers pour l’esprit humain.

La biologie naïve ou populaire est un autre ressort de ce succès. L’esprit humain dispose d’une compréhension intuitive du fonctionnement de la nature. L’un des aspects de cette biologie naïve est l’essentialisme psychologique tendant à la croyance en un cœur invisible et immuable déterminant l’identité des organismes, leur développement et leur comportement. Encore une fois, cela est totalement naturel et fait sens évolutivement. En effet, cette tendance à essentialiser d’autres organismes permet d’appréhender le monde biologique de manière directe et compréhensible. Cette compréhension est encore une fois l’agent de réponses adaptées à un environnement dangereux et à permis aux hommes dans le passé de comprendre intuitivement qu’il valait mieux ne pas croiser la route d’un tigre à dents de sabre. Reconnaître l’essence de ce qui fait un tel prédateur leur a permis d’éviter de se faire manger. Un tel raisonnement présente donc un avantage certain.

Encore une fois, le raisonnement scientifique se trouve être totalement contre intuitif, et ne correspond pas à cet essentialisme populaire. Il est notable de relever ainsi que lors d’une enquête aux USA, plus de la moitié des personnes interrogées ne rejetaient pas l’idée qu’un gène de poisson introduit dans une tomate GM donnerait irrémédiablement le gout de poisson à cette tomate. Dans ce raisonnement essentialiste, l’ADN de poisson, essence de ce qui fait le poisson, doit avoir le gout de poisson. Dans leurs campagnes de communication, les activistes anti-OGM se reposent systématiquement sur cet appel à l’essentialisme à grand renfort de montages photos montrant par exemple des hybrides de tomates et de poissons.

Les auteurs soulignent également la compréhension téléologique de l’univers dans le grand public. Il s’agit de la croyance communément partagée par les religions et les nouvelles conceptions quasiment religieuses de la nature ces dernières années, que l’univers a été créé dans une fin précise. Cette conception de la nature, bien que totalement démystifiée par la biologie évolutive, continue néanmoins d’irriguer nos contemporains qui pensent que les organismes ont été créés tels quels, et que toute modification représente donc une atteinte à un ordre voulu. En ce sens, les OGM sont vus comme n’étant « pas naturels ». Ainsi, qu’ils soient religieux ou sécularisés, les opposants aux OGM accusent souvent les scientifiques de vouloir « jouer à Dieu » ou d’agir « contre la nature ». Ils sont souvent décrits comme des docteurs Frankenstein dont les expériences vont s’échapper et amener l’apocalypse sur Terre.

Un autre trait de l’esprit humain interférant grandement avec l’évaluation objective des risques est l’émotion. Le dégout est ici particulièrement important, car l’opposition semble totalement ignorer les OGM non alimentaires. Ce dégout est probablement le fruit d’une réponse adaptative à l’évitement des pathogènes et poisons alimentaires. Dans le cas des aliments OGM, le dégout provient probablement du sentiment que la modification de l’ADN produit une atteinte à l’essence de l’organisme, le rendant impure et par conséquent impropre à la consommation. L’effet est probablement accru lorsque le gène introduit provient d’une espèce différente ou d’une espèce sous le coup d’un tabou alimentaire culturel. Ainsi, les campagnes anti-OGM présentent des fruits percés de seringues, ou arborant des couleurs inhabituelles, ou prétendent encore que les cultures Bt sont des poisons en passe de contaminer l’environnement. On notera que la bactérie dont provient le gène Bt des cultures OGM est très utilisée et plébiscitée en agriculture biologique, par les mêmes arguant que c’est un poison dans les OGM.

Le glissement vers la condamnation des producteurs et promoteurs des cultures OGM comme étant immoraux voire criminels est devenu central dans l’argumentaire anti-OGM. Il repose sur le dégout moral pour les multinationales accablant les fermiers, les poussant souvent à l’endettement et au suicide.

L’esprit humain n’est pas prédéterminé à croire que les OGM sont des poisons. Cependant, une fois que ces représentations négatives deviennent disponibles et largement diffusées à travers d’intenses campagnes de désinformation par des groupes activistes, ou à cause d’un manque d’opposition scientifiquement informée face à cela, l’esprit humain se trouvera nécessairement hautement réceptif à ces argumentaires séduisant sa façon intuitive de penser, fruit d’un long et efficace processus évolutif.

Il est notable de souligner en vertu des capacités de raisonnement propres à l’esprit humain expliquées supra, que le grand public véritablement inquiet des conséquences sanitaires et environnementales des OGM, peut paradoxalement adopter des stratégies intuitives à l’effet diamétralement opposé à celui recherché en interdisant tout à la fois des technologies promettant des développements agricoles durables et des applications médicales prometteuses.

16 commentaires sur “L’opposition aux OGM du point de vue des sciences cognitives

    • Salut Frédéric,

      merci de l’intérêt que vous avez porté à ce billet.

      Votre opinion est fort intéressante, pourriez vous l’étayer, par exemple en fournissant des évidences de compromission qui feraient de ce billet une œuvre de « propagande », ou pour le moins, pourriez-vous souligner les éléments dans le texte qui vous poussent à porter ce jugement, et la façon dont vous les tourneriez pour qu’ils ne donnent pas cette impression erronée ?

      D’avance, merci beaucoup.

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  1. Volontiers,
    Pour ce faire, je vous transmets le texte du courriel
    Que j’ai envoyer à : contact@arretsurinfo.ch
    Qui s’est malheureusement fourvoyé en publiant votre texte

    Cher(es) arrêt sur info,

    C’est seulement depuis quelques mois que je suis devenu un lecteur de votre site

    Il me doit de saluer la qualité des articles que vous publiez et qui me procurent aussi

    Ce qu’un citoyen curieux d’histoires vraies recherche comme lectures d’aide à la compréhension

    Hélas, trois fois hélas, parmi vos publications hautement déconstructives de la propagande du « système »

    C’est glissé un article de la pire propagande hautement toxique contre l’opposition aux OGM

    En contradiction avec les choix éditoriaux auxquels vous nous avez donné une logique, une optique, partagée

    Etonnamment, vous ouvrez vos colonnes à un texte qui sous couvert de prétendu, point de vue des sciences cognitives

    Attaque violemment la résistance aux cultures OGM, mais aussi, l’intuition naturelle d’auto-protection humaine

    Face à un enjeu aussi dangereux sur le plan environnemental, sanitaires, économique, social, éthique et finalement eschatologique

    L’auteur de l’article, (inconnu par ailleurs) dans le pur anonymat,

    S’en prend à la légitimité des opposants aux OGM de s’appuyer sur la crainte intuitive des peuples qu’ils défendent

    Contre les pressions de l’agro-bisness capitaliste et libéral dont on connaît les desseins hautement humanistes qu’ils dessinent

    Ceci, envers et contre tous les intérêts des peuples qu’ils exploitent pour raisons de profits

    L’appel à l’aide des sciences cognitives pour l’adoption des OGM est dans son œuvre parfaite dans cet article

    Pour démontrer l’ignorance craintive des peuples et son exploitation par les opposants aux OGM

    Une brève visite du site de la source :

    https://latheierecosmique.wordpress.com/2015/04/25/lopposition-aux-ogm-du-point-de-vue-des-sciences-cognitives/

    Nous indique l’orientation du marécage de la théorie techno-scientiste-capitaliste dans lequel il veut nous entraîner

    Dommage pour votre image, il m’espère qu’un contre-article viendra suppléer à cette triste défaillance

    Merci pour votre attention et avec mes meilleures salutations

    Fred Liechti

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  2. Super Frédéric, merci d’avoir pris la peine de répondre 🙂

    Votre texte est très engagé, mais il n’apporte pas les éléments que je vous demandais.

    Je m’explique :

    – vous portez une accusation, celle de « relai de propagande de Monsanto et cie »
    – je vous demande donc quels éléments factuels, précis dans le texte, justifient une telle accusation
    – votre réponse consiste à réitérer longuement l’accusation, « propagande hautement toxique » etc.

    donc vous n’apportez pas les arguments en soutien de votre position, mais vous répétez celle-ci, ce qui ne la rend hélas pas plus argumentée.

    Ma question, si vous voulez bien y répondre, porte donc bel et bien sur les _arguments_ en soutien de votre position, sans qu’il soit nécessaire de répéter celle-ci. Quels éléments précis dans le texte étayent selon vous cette accusation, et pourquoi ?

    Par ailleurs, puis-je me permettre de vous demander ce que sont pour vous « les OGM », et en quoi ils sont nocifs (si c’est bien là votre position).

    Voilà, j’espère avoir été clair.

    Merci encore de votre réponse, n’hésitez pas à poursuivre l’échange.

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  3. Voyez-vous Plasmodioum, je n’ai pas vocation à démontrer et à démonter
    tous les arguments des sophistes, thuriféfaires engagés dans la propagande
    scientiste aux services de vos commanditaires.
    Toutes les indications provenant des acteurs engagés dans le terrain humanitaire
    Sont au rouge contre les effets néfastes que provoquent l’agro-industrie
    Et particulièrement l’usage des OGM au détriment de l’agriculture traditionnel
    Je peux aussi vous retourner vos sophismes
    Pouvez-vous nous procurez l’innocuité des OGM sur le plan environnemental
    et sanitaire, sur le plan social aussi
    Votre sophisme réfute toutes les études scientifiques contradictoires
    Dès lors, aucun argument suffira à troubler votre déterminisme intéressé
    Notre controverse n’ira donc pas au-delà

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  4. Merci de votre nouvelle réponse Frédéric.

    En définitive, vous ne pouvez apporter _aucune_ justification à vos positions ? Répéter des accusations gratuites ne les rendra pas plus fondées. C’est un peu comme si vous vous mettiez à crier en pensant que le même mensonge préalablement chuchoté allait devenir une réalité.

    L’honnêteté intellectuelle voudrait que l’on apporte les preuves et les arguments de ses accusations, surtout lorsque celles-ci sont graves et tombent sous le coup de la diffamation sur le net : « aux services de vos commanditaires ».

    Quelle est la meilleure position, entre étayer ses propos anonymement ou tenir des propos non étayés et répréhensibles publiquement ? Je vous laisse le découvrir.

    Il se peut aussi que vous n’ayez aucune justification à ces positions qui ne sont que des convictions. Mais dans ce cas, ne vaudrait-il pas mieux les garder pour vous, ou suspendre votre jugement en attendant d’avoir des arguments soutenant vos convictions ?

    Votre question sur « l’innocuité des OGM » est un sophisme. Ce n’est aucunement grave ou bête, car c’est une erreur de logique très courante et intuitive. En fait, il est impossible de « prouver » l’innocuité absolue de quelque chose, qu’il s’agisse de pommes bio, de maïs OGM, ou d’eau de source. Impossible. Aussi, en s’en tenant à cet argument, les opposants « aux OGM » devraient cesser de s’alimenter, purement et simplement. En revanche, on peut établir des seuils de toxicité in vitro / in vivo / sur modèle animal / sur l’homme, etc.. Dans ce cas, la charge de la preuve vous appartient, et vous devriez, dans un débat honnête, fournir les publications à comité de lecture venant en soutien de vos positions sur la toxicité des produits OGM.

    Ce deuxième sophisme que vous faites, s’appelle le retournement de la charge de la preuve. C’est aussi une erreur de raisonnement courante, il n’y a rien de honteux à la faire spontanément, mais il vaut mieux l’éviter quand on entend débattre de façon logique et informée sur un sujet complexe. C’est à dire que vous me demandez à moi de prouver que vous avez tort, alors que c’est vous qui tenez une position dans votre message sans l’étayer. C’est donc à vous que revient logiquement la charge de la preuve.

    Ces deux principes logiques sont contenus dans ce qu’on appelle « la Théière de Russell », un concept énoncé par Bertrand Russell, mathématicien et philosophe des sciences, et d’où ce blog tire son nom 🙂 Vous pouvez consulter sa page wikipédia :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9i%C3%A8re_de_Russell

    Par pédagogie, je veux bien cependant me laisser attraper par ce sophisme du renversement de la charge de la preuve en vous fournissant, comme vous me le demandez, de la documentation sur l’impact environnemental « des OGM ». Vous pourrez trouver ci-après la méta-analyse la plus récente à ma connaissance sur le sujet, et en accès libre :

    http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0111629

    Vous pouvez lire l’article directement en ligne ou le télécharger au format pdf. Pour rappel, une méta-analyse est un niveau de preuve beaucoup, beaucoup, beaucoup plus puissant qu’une étude isolée.

    Pour les autres questions ayant trait à des positions de politique économique et sociale, celles-ci ne sont pas abordées par le billet. Il s’agit de savoir isoler les paramètres et les problématiques pour bien savoir de quoi on parle. Comme il ne vous aura pas échappé, ce blog se concentre sur les aspects scientifiques. Ce serait donc hors sujet ici, mais je suis sûr que des tas de blogs traitent la question sous ces angles, si vous souhaitez en parler.

    Cordialement

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  5. Pauvre Plasmodioum, qui ignore l’innocuité des aliments qu’il ingère
    Et que ses aïeux ont ingérés longuement pour en arriver à subsister sainement
    (je l’espère pour eux)
    Jusqu’au moment de la reproduction de lui-même
    Bonne santé à vous, Plasmodioum,
    Vos médecins s’occuperont de vous
    Mais n’ayez pas peur de manger de pommes bios
    Et d’autres aliments naturels qui pourraient encore vous maintenir
    Aussi bien que vos prédécesseurs
    Avouez-donc que vous ne mangez pas de produits Monsanto & Cie

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  6. Frédéric,

    vos messages sont inquisitoires, vous n’apportez aucun argument et vous êtes de plus en plus méprisant. Est-ce bien sérieux ?

    Il est en effet impossible de prouver l’innocuité de quelque chose, c’est un principe scientifique assez basique.

    Pour les pommes bio ou pas :

    https://latheierecosmique.wordpress.com/2015/03/27/trad-le-glyphosate-cause-le-cancer-tout-comme-les-pommes/

    vous pourriez en retirer quelques petites choses d’utiles.

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